1. Jusqu’à 15 changements pour un seul personnage

Dans des comédies musicales à grand spectacle comme UTOPIA que vous retrouviez encore la saison dernière chez Voulez-Vous Grand Rouen ou DIVA présent chez Voulez-Vous Orléans et Grand Lyon, les artistes enchaînent jusqu’à 15 costumes au cours d’une seule représentation. Cette cadence soutenue exige une préparation rigoureuse : entre les changements de costumes effectués à vue sur scène et les transitions éclairs en coulisses, chaque tenue marque un tournant dans le récit. Elle accompagne l’évolution des personnages et de l’histoire d’amour naissante entre Zoé et Aticus (Spectacle UTOPIA). Chaque transformation visuelle traduit un rebondissement narratif : on passe d’un univers administratif à une aventure pop, ou d’un monde virtuel à une scène glamour (Spectacle DIVA). 

Un simple accessoire ou une nouvelle silhouette suffit parfois à faire basculer le spectateur dans une autre époque, une autre émotion, un autre univers. Chaque costume devient ainsi un outil narratif à part entière, au service de l’illusion et du rythme du spectacle.

2. Des costumes conçus pour le déshabillage rapide

Les costumières et couturières redoublent d’ingéniosité pour concevoir des tenues aussi spectaculaires qu’efficaces. Pour permettre un déshabillage express, parfois en moins de 5 secondes, elles intègrent des systèmes de fermeture discrets, mais redoutablement efficaces : aimants, bandes Velcro, boutons-pressions, zips invisibles ou scratchs dissimulés remplacent les attaches traditionnelles.  

Chez Voulez-Vous, les robes se transforment instantanément, renforçant l’élégance et la fluidité. Chaque couture, chaque pli est pensé pour faciliter l’arrachage rapide sans abîmer la tenue ni entraver le mouvement de l’artiste. Ces astuces techniques, invisibles pour le public, permettent des transformations fulgurantes. Un savant équilibre entre esthétique, fonctionnalité et performance. 

Plongez dans les coulisses de la préparation d’un shooting photo dédié à la promotion de l’une de nos productions : https://www.facebook.com/voulezvousspectacleetdiner/videos/499700314140820

Crédit photo : Olivier Brajon.

3. Une véritable technique

Avant chaque représentation, les artistes préparent soigneusement leur espace et leur enchaînement de costumes, appelé la “mise en place” (ou “la mise” dans le jargon).  Ils retirent leurs costumes des cintres et les disposent, ouverts et dans le bon sens, sur une chaise ou une table, dans un ordre bien précis : du dernier tableau au premier (ordre inverse du déroulement du show). Cette logique inversée leur permet d’enfiler rapidement chaque tenue dans le bon ordre, sans perdre de temps ni se poser de questions. 

Les accessoires : gants, bijoux, chapeaux, éventails sont, eux aussi, positionnés à des endroits stratégiques autour de la scène ou dans les coulisses, sur leur trajectoire, comme des jalons sur un parcours parfaitement rodé. Chaque détail est anticipé pour éviter la panique ou l’improvisation. Cette organisation rigoureuse est la clé pour enchaîner les changements avec fluidité, tout en gardant l’illusion intacte pour le public.

Dans les coulisses d’un cabaret, les changements de costumes s’effectuent généralement en 30 secondes à une minute. Certains, cependant, ne prennent même pas 10 secondes, rendus possibles par une gestuelle parfaitement synchronisée. 

Dans le spectacle IDOLES, par exemple, ces transitions sont synchrones avec les tableaux hommage aux icônes. Découvrez notre revue en image : https://www.voulez-vous.fr/rouen/idoles

En effet, il faut parfois décrocher des plumes suspendues à des poulies ou des crochets pour les remettre aux danseuses au moment précis, ou à l’inverse, les retirer dès leur sortie de scène afin qu’elles puissent enchaîner les changements sans avoir à s’en occuper, car ces accessoires, imposants et parfois très lourds, encombrent l’espace. 

Chaque changement est répété comme une chorégraphie. Les artistes répètent le geste exact, le bon angle, la position idéale… afin de ne rien laisser au hasard. Les gestes deviennent plus précis, rapides et instinctifs, s’exécutant en une fraction de seconde, sans jamais briser le rythme effréné du spectacle. Tout doit s’enchaîner sans erreurs, sans mots, presque à l’aveugle. Un chronométrage précis et une synchronisation parfaite.

Crédit photo : Christophe Mouton.

Crédit photo : Olivier Brajon.

4. La préparation des costumes avant le show

Avant chaque représentation, les artistes préparent soigneusement leur espace et leur enchaînement de costumes, appelé la “mise en place” (ou “la mise” dans le jargon).  Ils retirent leurs costumes des cintres et les disposent, ouverts et dans le bon sens, sur une chaise ou une table, dans un ordre bien précis : du dernier tableau au premier (ordre inverse du déroulement du show). Cette logique inversée leur permet d’enfiler rapidement chaque tenue dans le bon ordre, sans perdre de temps ni se poser de questions. 

Les accessoires : gants, bijoux, chapeaux, éventails sont, eux aussi, positionnés à des endroits stratégiques autour de la scène ou dans les coulisses, sur leur trajectoire, comme des jalons sur un parcours parfaitement rodé. Chaque détail est anticipé pour éviter la panique ou l’improvisation. Cette organisation rigoureuse est la clé pour enchaîner les changements avec fluidité, tout en gardant l’illusion intacte pour le public.

Pour optimiser le temps, certaines perruques sont préassemblées avec des accessoires : serre-têtes, voiles, plumes ou chapeaux, de manière à être enfilées ou retirées en un seul geste. D’autres coiffes sont montées sur des attaches rapides ou renforcées avec des peignes, des pinces, des jugulaires et des crochets pour tenir pendant toute la durée de la danse tout en restant faciles à enlever. Chaque détail est pensé pour permettre une transformation complète, sans rupture dans la dynamique du spectacle.

5. Les perruques et accessoires aussi changent en un éclair

Les changements ne concernent pas que les vêtements : perruques, postiches, accessoires, et même maquillage font partie du processus.  

Dans le cadre des spectacles Voulez-Vous, les coiffes sont montées avec pinces rapides, jugulaires et attaches express. Cette technique est cruciale pour obtenir des looks variés en un clin d’œil. 

Découvrez les coulisses de ce monde enchanté et les techniques des petites mains dans ce reportage : https://www.voulez-vous.fr/videos-tv/

Pour optimiser le temps, certaines perruques sont préassemblées avec des accessoires : serre-têtes, voiles, plumes ou chapeaux, de manière à être enfilées ou retirées en un seul geste. D’autres coiffes sont montées sur des attaches rapides ou renforcées avec des peignes, des pinces, des jugulaires et des crochets pour tenir pendant toute la durée de la danse tout en restant faciles à enlever. Chaque détail est pensé pour permettre une transformation complète, sans rupture dans la dynamique du spectacle.

Crédit photo : Olivier Brajon.

Crédit photo : Olivier Brajon.

6. Une équipe ultra-coordonnée

Dans certains Cabarets ou Comédies Musicales, derrière chaque changement de costume fulgurant se cache une équipe d’habilleurs aussi discrète qu’indispensable. Leur mission : permettre à l’artiste de se transformer en quelques secondes, sans jamais ralentir le spectacle.

Dans l’univers des spectacles Voulez-Vous, comme Star du Music-hall, chaque changement de costume est une performance en soi. Pas d’équipe d’habilleurs dans l’ombre : ici, ce sont les régisseurs et les artistes eux-mêmes qui, avec une précision millimétrée, s’entraident pour transformer une scène en quelques secondes.

Les régisseurs connaissent chaque enchaînement, chaque accessoire, chaque piège à éviter. Dans les coulisses, le spectacle continue : entraide, regards complices, gestes discrets. Une efficacité fondée sur la confiance, la coordination, et une parfaite connaissance du déroulé du show. Les artistes deviennent, eux aussi, les rouages de cette mécanique bien huilée.

7. Certains costumes sont en réalité… des poupées Russes

Pour gagner du temps, les artistes superposent des couches et parfois certains costumes sont conçus en couche selon le principe des poupées Russes. Il suffit alors d’ôter une couche pour en dévoiler une autre afin que gagner un temps précieux.   

L’artiste porte alors plusieurs tenues à la fois, soigneusement empilées dans un ordre précis. Ces tenues ne sont pas forcément destinées à être changées à vue, mais permettent aux artistes, dès qu’ils quittent la scène, de retirer une couche et réapparaître presque instantanément sous une toute autre apparence. Robes sous des manteaux, jupes à ouverture rapide, vestes à décrochage… tout est pensé pour s’enlever en un seul geste. 

Cette méthode de superposition est un gain de temps précieux dans les coulisses, particulièrement quand les tableaux s’enchaînent à grande vitesse. Contrairement aux Quick Changes visibles sur scène, ici, la magie opère dans l’ombre.

8. Les chaussures aussi sont truquées

Les accessoires comme les gants, les bottes ou les escarpins sont souvent modifiés pour permettre un enfilage ultra-rapide : doublés de satin pour faciliter le glissement, équipés de scratchs camouflés sous des boucles décoratives, munis d’attaches à crochets invisibles, dotés de fermetures adaptées, ou même coupés à l’arrière pour élargir l’ouverture sans que cela ne se voie depuis la scène… tout est pensé pour gagner de précieuses secondes.

Ces adaptations permettent d’éviter les gestes lents comme le laçage ou les zips traditionnels, tout en garantissant que l’accessoire reste bien en place pendant les chorégraphies. Une illusion parfaitement maîtrisée, jusque dans les moindres détails.

Crédit photo : Olivier Brajon.

9. Des transformations… en pleine scène (Le Quick -Change)

Parmi les nouvelles générations de cabaret, “Voulez-Vous” fait figure de précurseur, les changements de costume s’effectuent directement sur scène, sous les yeux du public. En quelques secondes, une robe glisse au sol pour dévoiler une tenue totalement différente en dessous, ou un pantalon est arraché d’un geste vif. Ce procédé, appelé Quick Change, combine performance, surprise et émerveillement tel un tour de magie. Il insuffle du caractère au numéro, et parfois même une touche de poésie. 

Par exemple, parmi les mises en scène de Voulez-Vous, dans la comédie musicale UTOPIA, une succession de brèves saynètes s’enchaînent pour raconter, en filigrane, une journée partagée par deux Personnages amoureux. Ce passage exige de nombreux changements rapides de costumes et de décors. D’autres acteurs interviennent discrètement en coulisses pour participer aux transitions scéniques.

Crédit photo : Olivier Brajon.

Crédit photo : Olivier Brajon.

10. Une coordination technique en coulisses comme en régie

Si les artistes et les habilleurs sont en première ligne, les régisseurs lumière et son jouent, eux aussi, un rôle essentiel dans la fluidité des Quick Changes. Ils modulent l’éclairage pour dissimuler ou sublimer un changement éclair, ajustent le tempo musical pour offrir le temps nécessaire, et déclenchent les effets aux moments judicieux. Cette coordination repose sur un travail préparatoire rigoureux : répétitions, réglages son et lumière, et communication constante avec les coulisses. Tout est synchronisé à la milliseconde près. Un léger décalage suffit à briser l’illusion.

Sous les projecteurs de Voulez-Vous, la grande particularité réside dans l’automatisation complète du spectacle via un système de synchronisation préenregistré. Le show est ainsi millimétré dans ses moindres détails. Un écran 3D renforce le rythme et le spectaculaire, amplifiant l’immersion du public. Et de nombreux effets spéciaux viennent sublimer cette expérience scénique unique.

Crédit photo : Olivier Brajon.

En conclusion

À travers les créations de Voulez-Vous, chaque changement rapide de costume est bien plus qu’un simple passage en coulisses : c’est une performance en soi. Bien plus qu’une prouesse logistique, c’est un véritable art, invisible au public, mais essentiel à la magie du spectacle.

Derrière cette fluidité qui semble naturelle, il y a des heures de répétitions, des costumes pensés pour l’efficacité, et surtout une coordination sans faille entre régisseurs et artistes, qui s’entraident dans l’ombre avec une précision d’orfèvre.

Ces transformations éclair ne sont jamais anodines : elles soutiennent la narration, marquent les transitions, transforment les personnages et participent pleinement au langage scénique.

À Voulez-Vous, comme sous les projecteurs, chaque détail compte pour que la magie opère… sans jamais dévoiler ses secrets.

Le Chat Noir, berceau du cabaret artistique parisien.

Les origines du cabaret : Montmartre, fin XIXe siècle

C’est à Paris, plus précisément à Montmartre, que naît le cabaret moderne. En 1881, Rodolphe Salis ouvre Le Chat Noir, un établissement à la fois café, scène de spectacle et salon littéraire. On y déclame des poèmes, on chante des chansons engagées, et on rit des travers de la société. Ce premier cabaret attire des figures artistiques comme Aristide Bruant, Erik Satie ou encore Toulouse-Lautrec, qui immortalisera plus tard la vie nocturne montmartroise dans ses œuvres. 

À cette époque, le cabaret n’est pas encore le spectacle fastueux que l’on connaît aujourd’hui. C’est un lieu de création, de provocation intellectuelle, et d’avant-garde artistique. Il n’est pas rare que des spectacles abordent des sujets politiques ou sociaux, faisant du cabaret un espace de liberté d’expression unique en son genre. 

L’âge d’or du cabaret : 1900–1930 

Avec l’entrée dans le XXe siècle, le cabaret évolue vers un spectacle plus visuel et divertissant. Des lieux emblématiques ouvrent leurs portes, comme le Moulin Rouge (1889), les Folies Bergère, ou encore le Casino de Paris. Le cabaret se rapproche du music-hall, avec des revues composées de numéros chantés et dansés. 

C’est aussi l’époque où naît le French Cancan, danse emblématique aux jambes hautes, mouvements rapides et froufrous colorés. Immortalisée par La Goulue, Jane Avril et les illustrations de Toulouse-Lautrec, cette danse devient un symbole de fête, de provocation, et de liberté féminine. Le cabaret devient un spectacle complet, attirant une clientèle bourgeoise curieuse d’exotisme et de sensualité. 

L’entre-deux-guerres : explosion de la chanson et du burlesque 

Les années 20 et 30 marquent l’avènement du cabaret comme scène musicale. Le burlesque, les revues à plumes, et les grandes chanteuses prennent le devant de la scène. Des artistes comme Joséphine Baker apportent un nouveau souffle avec des performances audacieuses et résolument modernes. 

Les cabarets se multiplient, et certains s’internationalisent. Paris devient la capitale mondiale du divertissement nocturne. Le style Art Déco s’invite dans les décors, les costumes deviennent plus sophistiqués, et l’humour s’impose aux côtés du glamour.

✊ Le cabaret pendant l’Occupation : un lieu de résistance voilé

Durant la Seconde Guerre mondiale, les cabarets ne ferment pas, mais changent de ton. Derrière les paillettes, certaines chansons diffusent des messages codés de résistance. Les artistes utilisent la scène pour faire passer des idées, avec subtilité. 

Le public, lui, continue de chercher dans ces lieux un exutoire, un peu de légèreté dans une époque sombre. Le cabaret devient un moyen de résister par la joie, l’humour et la culture.

Joséphine Baker, symbole de l’audace et de la liberté artistique.

L’après-guerre : l’âge de la chanson et du cabaret poétique

Entre les années 50 et 70, les cabarets retrouvent leur rôle de tremplin pour les auteurs-compositeurs. Des artistes majeurs comme Jacques Brel, Georges Brassens, Barbara ou Juliette Gréco émergent dans des lieux comme l’Écluse, le Lapin Agile ou le Petit Journal Montparnasse. 

Le cabaret redevient un espace d’intimité, où la parole, la musique et l’émotion prennent le dessus sur la performance visuelle. Cette période marque une diversité des styles : entre cabaret, poétique, engagé, humoristique ou musical.

Déclin et marginalisation (1970–1990)

Avec l’arrivée de la télévision, puis des boîtes de nuit et des concerts grand public, les cabarets perdent en popularité. Beaucoup ferment. D’autres se réinventent difficilement. Les grandes scènes survivent : le Crazy Horse séduit encore par son esthétisme érotique chic. Mais le genre semble en déclin. 

Paradoxalement, cette époque voit aussi naître les prémices d’un renouveau, grâce à des artistes de cabaret underground, alternatifs, queer, qui réinvestissent la scène avec des propositions hybrides.

La renaissance du cabaret moderne (2000–aujourd’hui)

Au tournant du XXIe siècle, le cabaret connaît une nouvelle vie. Les créations deviennent plus théâtrales, plus technologiques, plus immersives. Les spectacles ne se contentent plus de faire rêver : ils font vibrer, réfléchir, interagir. 

Des lieux comme le Cabaret Voulez-Vous en sont la preuve : en combinant tradition, innovation et sens du show, ils offrent une expérience complète, entre repas raffiné et spectacle vivant. Le cabaret s’ouvre aussi à tous les publics, sans élitisme, et reflète une société plurielle.

Conclusion : Le cabaret, entre patrimoine et modernité

Le cabaret français a traversé les siècles sans jamais perdre son éclat. Il est tour à tour satirique, glamour, poétique ou provocateur. Et aujourd’hui plus que jamais, il séduit une nouvelle génération en quête d’émotion authentique et de spectacle vivant. 

Envie de vivre l’expérience par vous-même ? Plongez dans l’univers du Cabaret Voulez-Vous, découvrez nos spectacles, nos artistes, et laissez-vous emporter par une soirée inoubliable.

🩰 Un métier, une passion : qui peut devenir danseur(se) de cabaret ?

Le cabaret recherche des profils variés, mais tous ont un point commun : la passion du spectacle vivant. Être danseur(se) de cabaret, c’est incarner une multitude de personnages, allier expression corporelle, grâce et énergie… et surtout, savoir se renouveler à chaque représentation. 

C’est un métier accessible à toute personne formée en danse, motivée, avec un goût pour la scène, le collectif et le show. Les critères physiques sont propres à chaque cabaret, il n’existe pas UN profil type. Certaines qualités font la différence : 

– Endurance physique
– Polyvalence stylistique (jazz, classique, contemporain, cabaret, burlesque…)
– Présence scénique
– Sens du rythme et de l’interprétation
– Travail en équipe et rigueur professionnelle

🎓 Quelles formations pour se lancer dans le cabaret ? 

Il n’existe pas d’école unique « de cabaret », mais plusieurs chemins peuvent y mener :

– Conservatoires ou écoles privées de danse (moderne, jazz, classique)
– Formations pluridisciplinaires en comédie musicale
– Ateliers professionnels en art du spectacle ou art dramatique
– Cours spécifiques en cabaret/burlesque, notamment à Paris, Berlin ou Londres

De nombreux danseurs et danseuses viennent aussi du milieu du théâtre musical ou du cirque contemporain. Ce mélange de disciplines donne au cabaret sa richesse et sa diversité.

🎯 Les conseils pour réussir dans ce milieu 

– Travaillez votre polyvalence : le cabaret demande de danser, parfois chanter, souvent jouer.
– Cultivez votre énergie scénique : c’est ce que le public retiendra.
– Soignez votre présentation : look, prestance, sourire, attitude.
– Osez vous démarquer sans surjouer : la sincérité paie toujours.
– Entourez-vous : suivez des troupes, assistez à des spectacles, observez et apprenez !

📣 Bonus : Rejoignez les réseaux d’artistes cabaret, suivez les pages de castings professionnels, et gardez toujours un CV artistique et une démo à jour.